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Le cinéma, c'était le sujet de notre première chronique, ce qui ne nous a pas empêchées d'en faire le sujet d'articles ultérieurs.

The Blind Side

 

"Memphis, la ville sans histoire et sans glamour qui ne fait rêver personne. C’est pourtant là-bas que John Lee Hancock a décidé de poser sa caméra. Dans cette ville des États-Unis où les inégalités sont frappantes, où les “belles” épousent de riches hommes pendant que la communauté noire s’enfonce dans la misère, la drogue et la criminalité, le réalisateur raconte l’histoire d’un adolescent ballotté de familles en foyers devenu icône du rêve américain : Michael Oher."

 

(Re)lire l'article d'Amandine sur The Blind Side.

 

 

La Vague

 

"« Vous croyez qu’une dictature n’est pas possible ? »

Telle est la question posée par la version française de l’affiche de Die Welle (« La Vague »), un film réalisé par Dennis Grassel en 2008. Près de soixante-dix ans après la Seconde Guerre mondiale et les régimes totalitaires qui l’ont traversée, voici une fiction librement inspirée des expériences menées dans les années soixante-dix. À travers ce film, le résumé de nombreuses expériences menées ces dernières décennies pour comprendre ce qui émane de la Seconde Guerre Mondiale, et plus particulièrement du nazisme."

 

(Re)lire l'article de Charlotte sur La Vague.

 

 

L'homme qui rit

 

"L’adaptation du grand roman de Victor Hugo, L’Homme qui rit, avait tout pour être un succès. L’intrigue, les personnages, les décors, les acteurs… Tout y est. Pourtant le charme n’opère pas. Gérard Depardieu est tout à fait dans l’esprit d’Ursus, un peu bourru mais bien intentionné. Mais cela ne vaut pas pour les deux jeunes comédiens qui incarnent Gwynplaine et Déa."

 

(Re)lire l'article de Margot sur L'homme qui rit.

 

 

Virgin Suicides

 

"Un mal être. Un emprisonnement progressif qui tranche avec une liberté suggérée par des scènes rêvées, fantasmées, inaccessibles. Cinq jeunes filles blondes, à l’âge où tout devrait être possible. The Virgin Suicides, c’est l’histoire d’une jeunesse entravée à laquelle Sofia Coppola confère une dimension mystique."

 

(Re)lire l'article de Cassandre sur Virgin Suicides..

 

 


 

La vie d'Adèle

 

"Après avoir reçu la palme à Cannes l’année dernière et avoir été encensée de tous les côtés, l’arrivée au cinéma de La Vie d’Adèle s’est faite très discrète, semblerait-il pour ses scènes crues. Pourtant, les visages souriants de Léa Seydoux et d’Adèle Exarchopoulos laissaient présager un film rafraîchissant, à l’image de la bande annonce diffusée peu avant le festival, qui promettait de relater avec sincérité une histoire d’amour entre deux jeunes filles, dans ce qu’il peut avoir de plus beau. Mais ce qui se présageait comme un film novateur est retombé aussi sec."

 

(Re)lire l'article de Charlotte sur La vie d'Adèle.

 

 

Je vais bien, ne t'en fais pas

 

"Printemps 2005, ou 2006 peut-être. Une plage de Normandie. Il est difficile de dire où précisément. Cherbourg ou ailleurs. Elle se fiche un peu de la ville. Elle n’est pas là pour faire du tourisme mais pour le retrouver, lui. Il y a du soleil. Un soleil d’avril ou de mai. Celui qui fait que le ciel est bleu mais que le fond de l’air est un peu frais et nous invite à garder une veste. Et puis, il y a du vent. Pas beaucoup ; juste assez pour que les petites mèches de cheveux s’échappent de derrière son oreille. Elle marche le long de la jetée. Ses yeux scannent la foule mais au fond d’elle, elle le sait : elle ne trouvera rien. Il n’est pas là."

 

(Re)lire l'article d'Amandine sur la musique dans Je vais bien, ne t'en fais pas.

 

 


 
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